Le 5
juillet 1845, un commissaire de police parisien, accompagné d’un mari
courroucé, tape à la chambre d’un appartement de la rue Saint-Roch, à deux pas
de la place Vendôme. A l’intérieur s’ébattent Victor Hugo et sa bonne amie
Léonie Biard. Flagrant délit d’adultère. A l’époque, on ne badine pas avec ces
choses-là : Léonie est incarcérée. Le poète d’Hernani, 43 ans, protégé par son
immunité de pair de France, échappe, lui, à la prison. Mais pour éviter
l’opprobre, il s’enferme à double tour chez lui, place Royale (aujourd’hui
place des Vosges). Et comme il faut occuper ses jours, il se lance dans un
roman. Son titre ? Jean Tréjean. Rebaptisé un peu plus tard Les Misères.
Par Jérôme Dupuis (L'Express), publié le
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/livre/10-choses-que-vous-ignorez-sur-les-miserables_1077437.html#gFTtLABukAiqzj6E.99
Par Jérôme Dupuis (L'Express), publié le
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/livre/10-choses-que-vous-ignorez-sur-les-miserables_1077437.html#gFTtLABukAiqzj6E.99
C'est de l'injustice contre la femme ! Ils étaient deux en adultère mais seulement la femme est incarcérée. Pourquoi, cela ?
RépondreSupprimerL'injustice demeure dès toujours !
C'est l'idée que la femme est l'incarnation de la tentation, du démon, le serpent... toujours accusée et responsabilisées pour les fautes du "pauvre homme" !
Cet être naïf et inocent !
Faut peut-être arrêter de dire des conneries et vivre à son époque. Quelle s estime heureuse pour nous sans ça.. Pas écrit les misérables.. Comme quoi l injustice !!
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