" Ce qui
suit va sans doute porter un coup à tous les hugoliens rationalistes : le titre
des Misérables, notre grand roman national, a été trouvé par une table
tournante. On se souvient que, dans l’espoir de communiquer avec sa fille
Léopoldine, morte noyée en 1843, le poète dialoguait avec l’au-delà lors de
séances de parapsychologie familiale. Un système attribuant des lettres de
l’alphabet au nombre de coups frappés par le pied de la table finissait par
former des phrases. Et c’est ainsi que le 15 septembre 1853, à 19 h 30, la
table tournante ordonne au poète : « Grand homme, termine Les Misérables ! » Ce
nouveau titre trouvera sa résonance dans une célèbre phrase du roman : « Il y a
un point où les infortunés et les infâmes se mêlent et se confondent dans un
seul mot, mot fatal, les misérables ; de qui est-ce la faute ? »
Par Jérôme Dupuis (L'Express), publié le
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/livre/10-choses-que-vous-ignorez-sur-les-miserables_1077437.html#gFTtLABukAiqzj6E.99
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/livre/10-choses-que-vous-ignorez-sur-les-miserables_1077437.html#gFTtLABukAiqzj6E.99
Cette période de la vie de Victor Hugo est très intéressante, il y a un film Adèle Hugo qui raconte l'histoire de son autre fille et qui aborde superficiellement ces expériences avec les tables tournantes.
RépondreSupprimer